[Tu te laisses
en communication avec ces petits détails historiques, pour t’y dissimuler, incomprise
du futur. Mais le présent te subjugue à nouveau, t’enveloppe de self-autorité
et te repose sur ton asphalte initial après un court coma. Imminente fonction en
marche, tes moteurs reprennent leur vie, s’alimentent d’une chimie ambiante.]
Sous la pluie tu t’ignores, plongée dans une autre marée, en corrélation avec
ce qu’ils sont, eux, supposés être les espoirs - l’espoir d’un nouveau règne
doux. Mais t’accaparer des autres réels n’est pas si aisés, les provocations
d’incidences sont des cubes amorces de changements et de transitions violentes ;
la maladie en est un sort réponse à l’effet de ce vœu.
Alors, ces yeux qui
s’aventurent, se taisent dans la discrétion ; tu t’implantes doucement
dans ces nouveaux plateaux, avec le fatras de pipelines qui s’agglomère
toujours derrière toi, dans l’attente d’une nouvelle exploitation stable et
durable. Ce que
tes pluies torrentielles maintiennent est protègent, ton cristal nerveux, ne pourrait
ressentir que les manifestations d’un aiment puissant de saison, les caresses,
d’un fibreux corps intelligent, sans peur.
Sonor ~ Leila | Like weather album, track 06.